Drapeaux pour Gulliver : les gratte-ciel et leurs décorations du 19 mai ...
Un authentique port de pêche : Sarıyer.
Les poissons y sèchent au soleil.
Le charme désuet des maisons les pieds dans l’eau : bon, vous avez déjà commencé à rêver mais sachez que, même si ces habitations ne semblent pas toutes luxueuses, elles se vendent plusieurs centaines de milliers d’euros…
Magie du bleu et du vert : la forteresse byzantine de Yoros vue d’en face.
Beauté sauvage : le hameau de pêcheurs de Garipçe, que seuls connaissaient les navigateurs ; il demeura presque inconnu des Stambouliotes jusqu’à ce que l’on décide, hélas, que le pilier du futur troisième pont y serait planté. Qu’en sera-t-il de ce site de rêve dans deux ou trois ans ?
Que fait-on lorsqu’il pleut à Beyoğlu ? Comme la rotonde de verre du Passage aux Fleurs, un des hauts lieux du typique stambouliote, est en restauration, les clients attablés reçoivent les gouttes sur la tête et n’ont d’autre solution que de se lever en quatrième vitesse pendant que les garçons recouvrent les tables de nappes de plastique.
Il faudra donc attendre la fin de la pluie pour continuer le repas…
Un narguilé à la fraise : les ruelles de Beyoğlu ont renoué avec les ancestrales traditions...
Un café de rêve à 8h, à Yeniköy : devant l’embarcadère, sur un ponton, face au ballet des bateaux qui arrivent d’Asie…
Mon petit ami bien curieux de Tarabya : il a vu que je grignote et me suit pas à pas… (cette photo est pour Pascal)
Course entre deux géants sur le Bosphore : lequel sera le plus rapide du cargo ou du paquebot ?
Et une belle écharpe d’Iris stambouliote…